Les partenaires institutionnels : l’Etat, le Pays, le sénateur Jean-Marie BOCKEL et la sénatrice Lana TETUANUI ont été invités à ouvrir et clôturer le congrès.
L’AMF, le CNFPT et l’ACCDOM répondent toujours très favorablement à l’invitation du SPCPF, ils sont présents et très actifs. Des représentants et partenaires des collectivités hors Polynésie sont également invités.
L’objectif du congrès 2018
De manière générale, le congrès est un espace d’échange et de dialogue entre maires et élus locaux sur des thématiques permettant de faire évoluer le monde communal. Moment exceptionnel de rencontres, chaque maire, chaque élu et cadre dirigeant communal peut s’informer des grands dossiers en cours d’évolution, situer sa commune dans les débats et mieux appréhender le positionnement des communes dans le panorama institutionnel local.
Pour 2018, le monde communal est invité à réfléchir et faire des propositions sur « Le statut de l’élu local en Polynésie française ».
Ce choix du thème s’inscrit dans une démarche de consultation des élus locaux de métropole, réalisée par la délégation aux collectivités du Sénat. Cette consultation vise à identifier les évolutions nécessaires à proposer pour améliorer le statut des élus locaux et ainsi évaluer si la crise des vocations décrite depuis plusieurs années est une réalité. La volonté du SPC est d’accompagner l’initiative métropolitaine et, le temps d’un congrès, questionner les élus municipaux polynésiens sur leur vécu au quotidien, les obstacles et leurs difficultés. L’ambition étant de porter les propositions faites à l’occasion du congrès auprès des institutions concernées.