La décision d’une mission en Nouvelle Calédonie a été prise en fonction de deux points communs majeurs partagés avec nos communes de Polynésie française. Le premier est la monnaie, le franc Pacifique. Le second point commun est la méthode d’expédition des fichiers informatiques transmis à notre trésorerie. En métropole les échanges entre les collectivités et leur trésorerie se font de manière dématérialisée. Or, la Polynésie française, la Nouvelle Calédonie et Wallis-et-Futuna utilisent toujours les protocoles de transmission dits « à plat » forcément accompagnés d’une transmission papier. Ces deux points communs sont présents dans pratiquement tous les logiciels métiers distribués par le SPCPF.
Dans ce cadre, Yvon-Serge Badila, directeur du département informatique, Tania Ayo, responsable de la mission logiciels et adjointe du directeur, ainsi que Jérôme Pérou, responsable du pôle technique, se sont déplacés en Nouvelle Calédonie pour une semaine. Les cinq jours ont été rythmés par de nombreuses réunions de travail dans des communes et collectivités.
Durant ces rencontres les trois agents du SPCPF se sont imprégnés de l’environnement dans lequel évolue l’informatique en Nouvelle Calédonie (les connexions Internet, la sécurité informatique, le lien entre les collectivités et les autres institutions comme les provinces, les prestataires de services, les marchés publics etc.). La mission a permis à la délégation d’apprécier les solutions informatiques :
Les débits Internet sont bien meilleurs en Nouvelle Calédonie. A titre d’exemple, la mairie de Kouaoua qui se trouve à 183 km de Nouméa bénéficie d’un débit de 6 Méga bits par seconde.
Enfin, le directeur du département informatique et ses collaborateurs ont terminé leur mission sur la découverte de solutions nouvelles pour les communes adhérentes à la compétence informatique comme :